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En 2020, la plupart des gens achètent leur véhicule au-delà de leur frontière. Les concessionnaires locaux proposent effectivement des options très limitées tant à la fonctionnalité qu’au design. Ce système de vente permet donc d’élargir vos choix en suivant les formalités légales. On en déduit ainsi l’importance de peser le pour et le contre avant d’effectuer l’acquisition d’une voiture à l’étranger.
Les avantages de l’acquisition d’une voiture à l’étranger
Que vous faites un Achat voiture neuve ou l’appropriation d’un véhicule d’occasion, le faire à l’étranger permet certains avantages.
Vous pouvez évidemment profiter d’une réduction conséquente des prix d’achat avec une garantie. De même, pour faire plus d’économie, vous pouvez demander l’aide d’un courtier automobile.
Une voiture pour un prix abordable
Comme le marché automobile prend plus d’ampleur dans l’Union européenne, certains concessionnaires réduisent largement ses tarifs sur les voitures importées.
La tarification varie en fonction des modèles. Néanmoins, au même prix qu’une voiture utilitaire française, vous pourrez obtenir un véhicule toute option de marque étrangère.
La garantie
Selon les règles générales françaises qui régissent la vente d’un véhicule à l’étranger, la garantie demeure constante si la voiture est neuve. Le vendeur se doit ainsi de garantir une marque étrangère comme un modèle local.
En ce qui concerne les voitures d’occasion, vous n’obtiendrez de garantie qu’en passant par le biais d’un mandataire automobile. Si vous achetez aussi une voiture étrangère à un particulier, vous ne bénéficierez pas de caution.
Faire appel à un mandataire
Une centrale d’achat ou un mandataire est un courtier auto qui recherche la voiture adaptée à vos besoins et votre budget. En échange d’une commission de vente de 10 % du prix du véhicule, vous obtiendrez une voiture étrangère à prix réduit.
En demandant l’expertise d’un mandataire, vous n’êtes pas forcé de vous déplacer sur place pour choisir la voiture qui vous convient. Cette méthode permet donc de gagner du temps.
En plus de la garantie, vous profiterez des services additionnels comme la livraison ou une extension du cautionnement.
Attention aux pièges
En dehors de ces profits incontournables, vous devez aussi prendre en considération les inconvénients de ce concept. Entre les charges et la paperasse, l’achat d’une voiture à l’étranger dissimule certains pièges à éviter, notamment en ce qui concerne les paperasses.
Les formalités administratives
Afin d’obtenir un titre d’immatriculation française, vous devez impérativement remplir les procédures administratives. L’importation d’une voiture échoue fréquemment sur cette partie.
Après le dédouanement, vous devez fournir les dossiers requis pour une immatriculation provisoire. Après une attente d’un mois, vous pouvez demander un certificat définitif.
À l’exclusion des documents supplémentaires, propre au pays expéditeur, vous devez fournir les justificatifs suivants :
- Un certificat de conformité
- Un justificatif de vente traduit en français
- Un quitus fiscal des taxes
- L’ancien certificat d’immatriculation
- Une pièce justificative d’identité et de résidence
La taxe à la valeur ajoutée (TVA)
Le paiement des TVA et des charges douanières est un piège d’envergure qui requiert votre vigilance sur l’achat d’une voiture à l’étranger.
Pour une voiture qui a roulé moins de 6000 km sur une durée d’utilisation inférieure à 6 mois (un Achat voiture neuve), la TVA s’élève à 20 % du prix du véhicule. Ce tarif varie par rapport au malus écologique du véhicule.
Le dédouanement comprend 10 % du prix de la voiture. Vous devez savoir que des frais complémentaires viendront s’ajouter pour les procédures de conformité du véhicule.
